• Le Thon de l'Année:C'est un gros Thon , il fait plus de 325kg, c'est lors d'un tournoi de pêche sur les rives de  la ville Hagi au Japon, que ce vrai thon ,donc, a ete peche .C'est una cteur  qui a realisé cet exploit(Hiroki Matsukata)à la prefecture de Yamaguchi.Le record a ete battu vu que l'ancien etait de 305Kg et le nouveau Thon a été vendu a plus de 15.500 de Yens(40.000euros).Le Japon s'affiche encore comme l'un des plus grand pays de pêche et c 'est aps l'autre gros thon qui va dire le contraire.

     

    Accident à l'acide:Plusieurs personnes ont été blessées lorsqu'un travailleur qui était monté sur un métro pour y faire des réparations a casse le conteneur d'Acide Chlorhydique qu'il portait.L'incident s'est passé le 19 Novembre et trois personnes ont été emmenées à l'hôpital pour des brulures causées par la substance liquide.Malheureusement l'incident s'est déroulé en plein Tokyo pendant les heures de pointes mais a priori la vie des victimes n'est plus en danger.

     

    Kitano l'artiste:Takeshi Kitano, un des plus grand  acteurs et réalisateurs  de notre époque vient de mettre en ventes certains de ses tableaux pour des oeuvres caritatives.C'est une association qui a contacté notre cher monsieur pour qu'il prenne son pinceau et qu'il fasse de très beaux tableaux.

     

    Travelo Way:Pour attrapper des voleurs de sacs à main, la police  japonaise a pris  une bien belle initiative.ils ont choisi  quatre policiers pour leur carure de "femme" et leurs aptitudes aux arts martiaux puis ils les ont travestis.Le but étant qu'il se fassent voler leur sac à main par les voyous en question et eux-mêmes arrêtent les voleurs"la main dans le sac".Malgré le fait qu'ils n'ont toujours arrêté personne depuis Octobre,les autres Hommes n'y voient que du feu et nos 4 policiers se font regulierement draguer.

     

    Être Clean: Le ministre des affaires sociales a de quoi être fier en nous donnant la nouvelle.Le taux de tabagisme chez les hommes  a atteint le minimum historique de 36.6% tandis que les femmes,cela est tombé à 9.1%,ce qui place le chiffre en dessous de 10%.Cette prouesse est due à la prise de conscience du tabagisme et surtout à la carte à puce"Taspo" qui n'est délivrée qu'au plus de 20ans et qui permet d'acheter des cigarettes dans les distributeurs automatiques.On devrait faire pareil,tiens;

     

    Shin-Chan en pleurs:Des milliers de fans étaient présents aux funérailles du dessinateur japonais Yoshito Usui, le créateur du personnage de Shin-Chan.C'est pendant une randonnée en septembre que l'artiste a été retrouvé mort alors qu'il traversait en solo une chaîne de montagne au nord du Japon.Son corps a été retrouvé une semaine après le début des recherches.l'auteur a fait ses débuts en 1987 et c'est trois ans plus tard qu'il invente le personnage de Shin-Chan et depuis le manga s'est vendu à plus de cinquante millions d'exemplaires rien au Japon.Un grand Homme vient de partir.


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  • LE JAPON

    Une seule participante PIE étudie cette année au Japon. Notre enquête est menée à partir de son témoignage et de celui de certains anciens. Pour compléter l’information, « Trois Quatorze »  a également fait appel à Azusa, une jeune Japonaise qui passe actuellement une année en France.


    STRUCTURE DES ETUDES

    En bien des points, le système scolaire japonais ressemble au système scolaire français. S’il suit le cursus classique, le jeune Japonais entre à l’école primaire - Shagako - à 7 ans et en sort à 13 ans (6 années). Il va ensuite au collège – Chugako – entre 13 et 16 ans, puis au lycée – Kookoo – entre 16 et 18 ans.

    L’école japonaise est très sélective. Le tronc commun classique est donc difficile à suivre. « Ici, l’école est un véritable parcours du combattant », nous dit une participante. « Tous les jeunes Japonais n’en viennent pas à bout, loin de là » nous dit une autre. Et d’ajouter : « C’est un peu comme en France. » En cours de route, nombre d’élèves sont en effet réorientés vers des filières professionnelles.

    On notera que si, aujourd’hui, une majorité de « kookoo » (lycées) sont mixtes, tous, loin de là, ne le sont pas. Ils restent donc des écoles pour filles et des écoles pour garçons.
    Les trois années de lycées (autrement appelées première, deuxième et troisième années) sont ponctuées de nombreux examens : un examen principal à la fin de chaque trimestre, un autre en milieu de trimestre.

    Le système de notation est assez particulier ;  il s’agit en fait d’un pourcentage (la note globale est calculée sur une base 100) établi à partir de plusieurs critères.

    L’esprit de compétition est fort. Il domine l’école japonaise et influence beaucoup les mentalités. « On se bat pour être la meilleure de la classe. » Après chaque examen, les résultats sont affichés dans les classes.  Les noms apparaissent en fonction de la note obtenue (de la meilleure à la moins bonne).


    LE DIPLÔME

    Le « Daigakenyugakehigun »  est un diplôme d’entrée à l’université. Non seulement il conclut le long cycle d’études secondaires, mais il oriente éqgalement le cursus universitaire (matière, type d’université et niveau).  Il s’agit en fait d’un concours déguisé.

    Ce « concours » est déterminant pour la suite des études des jeunes Japonais ; déterminant aussi pour leur avenir professionnel. « J’ai sincèrement l’impression que toute la vie des lycéens japonais est déterminée par une réussite ou un échec à cette épreuve. » On comprend alors qu’à l’image des jeunes Français, les jeunes Japonais semblent obnubilés par cet examen. « Ils n’ont que cela en tête » nous dit une participante. « Beaucoup de collégiens et de lycéens suivent des cours, après l’école, pour être sûrs de réussir le concours et de pouvoir entrer dans les universités ou écoles qui les intéressent. »


    RYTHME SCOLAIRE

    L’école au Japon débute en avril. Le fait est original. C’est même, à notre connaissance, un cas exceptionnel dans l’hémisphère nord. L’année est divisée en trois trimestres (avril-juillet  / septembre-décembre  / janvier-mars). Les vacances principales (celles qu’en France nous appelons grandes vacances) séparent le premier et le deuxième trimestre ; elles ont lieu en août et durent un mois environ. D’autres vacances sont programmées entre chaque trimestre, à Noël (15 jours), et à la fin de l’année scolaire (3 semaines). Les Français jugent que cela est trop peu : « Les vacances sont rares, pas plus de deux mois par an, mais heureusement il y a beaucoup de jours fériés et de journées d’école consacrées à des activités extrascolaires (visites et autres…).

    Les élèves japonais ont cours du lundi au vendredi, généralement de 8 h 30 à 15 h 30 et deux samedis par mois (le 1er et le 3e, de 8 h 30 à midi). Les cours durent 50 minutes et sont entrecoupés de pauses de cinq minutes. La coupure prévue pour le repas de midi est de 35 minutes. Le rythme, de prime abord, paraît donc supportable. Mais les choses ne sont pas si simples : « Ici on ne peut pas se fier aux horaires officiels, car les élèves ont un tel souci de réussite qu’ils passent leur temps à prendre des cours supplémentaires. » En réalité, les cours commencent souvent plus tôt le matin (« il n’est pas rare que les profs me convoquent à 7 h 30 » dit une participante), et ils s’achèvent plus tard (rarement avant 16 h 30 – « sans compter que beaucoup d’élèves restent en étude »). Les choses se compliquent encore, dans la mesure où beaucoup de journées libres et de week-ends sont consacrés aux devoirs ou aux cours particuliers. » Une participante française note que « certains travaillent pendant les vacances, quelquefois la veille et le jour même de Noël ! »  

    Le rythme réel est donc très soutenu. D’autant qu’au travail s’ajoute toujours une obligation de résultat ; obligation qui engendre, aux dires de tous nos témoins, une bonne dose de stress et de fatigue.


    MATIÈRES

    Jusqu’à la fin de la première année de « kookoo », toutes les matières sont obligatoires. Ces matières sont : Japonais, Maths (Analyse et Algèbre), Anglais, Sciences, Sciences sociales (Histoire, Économie, Géographie), Sport et Art.

    Au début de la seconde année, l’élève choisit entre deux branches (section scientifique ou section littéraire) mais on ne lui propose quasiment aucune matière à option. Certaines écoles, en revanche, sont plus axées sur les langues, et d’autres plus orientées sur les sciences.
    Toutes les matières semblent revêtir la même importance. Si hiérarchie il y a, elle semble « favoriser légèrement le Japonais, les Maths et l’Anglais ».  

    Les Français apprécient qu’une place importante soit réservée aux arts (aux arts plastiques en général et à la peinture en particulier, à la danse et à la musique). « L’art est une matière à part entière, qui a toute sa place dans l’éducation et la formation du jeune Japonais. »

    La place réservée au sport est importante aussi. « Dans mon école, précise une de nos enquêtrices, on peut faire du volley, du badminton, du « Lacrosse », du tir à l’arc, du flipper, du base-ball, du soft-ball, du football, de la gymnastique… ».


    RELATIONS ET ATTITUDES

    Ici, tradition et discipline sont les maîtres mots. Tout est très hiérarchisé ; les droits des élèves, des professeurs ou du proviseur sont très différents. « Au début et à la fin de chaque cours les élèves doivent une révérence aux professeurs. De même, les élèves et les professeurs font la révérence au proviseur du lycée quand ils croisent. Ce dernier est une personne très respectée. » Une participante prétend que « l’élève n’a aucun droit, sinon celui de venir à l’école et d’être éduqué. On lui demande de porter l’uniforme, d’avoir une coupe de cheveux parfaite, des ongles courts, de ne porter aucun bijou, ni maquillage, un point c’est tout ! »  Une autre participante ne voit pas les choses ainsi : « C’est vrai que la discipline est stricte, mais il y a un grand respect entre professeurs et élèves.  Je trouve pour ma part que les relations sont beaucoup plus détendues qu’en France, et moins stressantes. » « Les professeurs vous soutiennent, vous épaulent, ils ont un vrai souci par rapport à votre avenir. Je dirais qu’ils agissent plus comme des parents. Ici ils vous protègent. On ne peut absolument pas comparer avec l’attitude des professeurs en France. »

    Si l’esprit de compétition « entraîne de grosses rivalités entre les élèves quant aux résultats », il n’en reste pas moins vrai que « l’atmosphère, en classe, est très cordiale, très chaleureuse. » La photo ci-dessus est là pour confirmer ces dires et témoigner du sens de l’accueil des élèves Japonais.



    OBJECTIFS

    Nos enquêteurs, quand ils évoquent les objectifs de l’école japonaise, s’accordent pour dire qu’ils sont assez proches de ceux de l’école française : « soucis d’acquérir du savoir et des connaissances », de mener à bien les commentaires de texte et les analyses. De l’avis de tous, ces objectifs sont d’ailleurs atteints. Nos participants jugent en effet que le niveau est assez relevé. Mais attention, ce niveau est souvent atteint au détriment de l’équilibre de l’élève (« trop de travail »). Les Français regrettent la place trop importante faite aux cours magistraux (« le professeur parle et les étudiants écoutent »), le manque de réflexion de l’élève, et la « faible autonomie qui lui est laissée ». Ils regrettent en fait, que sur le fond cette école ressemble un peu trop à l’école française. Ils apprécient, par contre, que sur la forme elle diffère vraiment.  On parle de « dépaysement », voir même « d’exotisme. » « Chaque école a un code qui régit les tenues vestimentaires et les comportements, c’est plutôt marrant ». « Les « kookoo » sont bien mieux équipés que les lycées français : matériel sportif, instruments de musique, ordinateurs, matériel audiovisuel. »

    L’atmosphère est jugée globalement très agréable et l’enseignement dispensé paraît profiter aux étudiants français (« surtout en langue », et « parce qu’on apprend à s’adapter à des univers très différents »).


    ANECDOTE

    « J’ai été merveilleusement accueillie dans mon école et dans ma classe. Les élèves m’attendaient, mais ne connaissaient pas précisément le moment de mon arrivée. Quand ce moment est venu, j’ai eu droit à de véritables manifestations, on était proche de l’hystérie.  »

     


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  • Les chrétiens étant peu nombreux au Japon, les célébrations de Noël (kurisumasu, de l'anglais christmas) ne revêtent que rarement de véritables aspects religieux. Noël est une tradition moderne en plein développement au Japon, mais plus que la naissance du Christ, c'est surtout le mythe de Saint-Nicolas (le Père Noël) qui est célébré. Ansi, comme dans les pays occidentaux, Noël est l'occasion d'offrir des cadeaux aux enfants (surtout aux plus petits).

    Certaines grandes villes du Japon installent des illuminations grandioses qui feraient pâlir d'envie les Champs Élysées. Les quartiers tres fréquentés sont également illuminés. C'est à qui fera la plus belle décoration lumineuse.

    Pour les jeunes, la soirée du 24 décembre est la fête des amoureux. Peut-être plus encore que lors de la Saint Valentin, la « Christmas Eve » est le moment des grandes déclarations enflammées, et inviter quelqu’un à sortir, se balader ou dîner, ce jour-là revêt une signification toute particulière. Les couples, eux, se retrouvent pour partager un instant et il n’est pas rare de voir les coins romantiques littéralement pris d’assaut et les restaurants chics et les hôtels afficher complet le soir venu.

    Liste des fêtes et jours fériés japonais

     

    BONNE ANNÉE

    Le changement après Noël est impressionnant. On remplace toutes les décorations européennes par des objets typiquement japonais pour se préparer à "Shogatsu", le nouvel an. (En général, du 1er janvier au 7 ou 15 janvier.)
    C’est le moment de faire le grand nettoyage de la maison du 26 au 30 et se repose le 31. Les gens âgés aiment souvent passer le dernier jour tranquillement en regardant "Kôhaku-Utagassen", une émission japonaise sur la musique, qui passe chaque année le 31 décembre à la chaîne NHK1. Avant l'arrivée du nouvel an, on se baigne pour enlever la saleté de l'année passée et mange des "Soba", nouilles de sarrasin avec de la soupe, en souhaitant une vie long et résistant.

    A minuit, beaucoup de gens vont aux temples shintoïstes pour faire leur prière et acheter des porte-bonheur et des petites plaquettes en bois (Ema), sur laquelle on inscrit son voeu et que l'on accroche dans un temple ou un sanctuaire.

    Comment les Japonais se souhaitent-ils bonne année ? Et bien tout comme nous ils utilisent des cartes de voeux. Toute ressemblance s'arrête ici. En effet, les cartes portent la formule japonaise akemashite omedetou, qui n'a aucune signification si la carte est lue en décembre. Il faut donc que la carte parvienne à son destinataire en janvier, si possible le premier.
    Comment faire ? Si on la poste trop tard on risque de manquer le 1er, et si on la poste trop tôt elle arrivera en décembre. Et bien, ils ont pensé à ce détail là. Observez à gauche sur la deuxième photo.

     

    À côté du timbre, se trouve une indication faite de deux signes japonais (en rouge). Elle indique qu'il s'agit d'une carte de voeux de nouvelle année. La poste japonaise les stocke donc et les distribue spécialement le 1er janvier. Le 1er janvier, les facteurs sont donc très occupés et ils n'ont pas intérêt à avoir abusé du saké la veille. À noter que l'on peut inscrire soi-même à la main, à côté du timbre ce précieux sigle. Ne pas oublier de l'inscrire en rouge cependant !

    Presque toutes les cartes de voeux portent des numéros d'identification . Il s’agit d’une loterie est organisée conjointement aux cartes de voeux. Certains numéros sont tirés au sort et gagneront pour les plus chanceux, une télévision, une chaîne hi-fi ou quelque chose comme ça, ou pour les moins chanceux un timbre-poste (représentant le prix d'une carte de voeux). La grande majorité ne gagne bien sûr rien du tout.

    À Nouvel-An, on enverra également un cadeau à toutes les personnes dont on est redevable. Le principe est le même que le cadeau envoyé en été (o-chugen), mis à part que cette fois-ci le cadeau s'appelle o-seibo.

     

     

    Noël au Japon, c'est avant tout des décorations tape-à-l'oeil dans les vitrines des grands magasins, comme en France, et des illuminations dans les quartiers commerçants, comme en France. Le label Noël se vend plutôt bien dans l'archipel. J'utilise à dessein le terme label car c'est ici uniquement un business, plus ou moins florissant selon la conjoncture. Alors, fort à parier que cette année, les affaires ne devraient pas être mirobolantes.

     

    Quoi de plus normal par ailleurs dans un pays où les chrétiens, croyants et pratiquants, peuvent se compter sur les doigts de la main. Là, j'éxagère un peu, mais uniquement pour souligner le fait que les chrétiens japonais sont rarissimes. En dénicher relève de l'exploit.

     

    Puis, de toute façon, Noël n'est pas férié ici. Alors, la messe de minuit suivie du réveillon en famille avec le réveil qui sonne à sept heures pour aller bosser...Dur, dur! Fêter ou bosser, ici il faut choisir!

     

    Ci-dessous, quelques photos d'illuminations nocturnes prises près du palais impérial. 

    Fichier hébergé par Archive-Host.com

     


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  • Le quartier d'Akibara, à Tokyo, est devenu "la Mecque" des otakus, passionés de mangas, de films d'animations et de jeux vidéos, autrefois considéres comme des activités puériles et marginales.

    Il se nourrit de mystéres venus d'ailleurs.

    Son appétit de découvertes et sa soif  de surnaturel l'ont conduis par maints sentiers et routes du monde sans jamais le rassasier.On le dit étrange.On le dit curieux.Avant notre rencontre ,à Tokyo, son entourage juge bon de m'avertir; l'artiste, légende vivante, plusieurs fois primé et adulé des génerations, bien au-délà des frontiéres nippones,répond parfois à côté de la question  posée.S'agit-il d'un jeu ou d'une absence liée à un âge plus qu'honorable?

     Le mangas fait partie du mode de vie.On le lit dans le métro sur papier ou sur son télephone portable.A Sakai Minato, dans le sud-ouest de l'Archipel, des personnages de Shigeru comme Neko-Chan, décorent les trains, les ferry , les rues des  villes portuaires et même son commissariat.

     

    Cosplay:

    Elle traînent dans leur mallettes à roulettes, les vêtements qu"elles comptent exhiber lors d'un cosplay, une fête costumée.


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  •  Au  Japon,nombreuses sont les jeunes femmes qui rêvent de devenir Geisha.Pourquoi une telle fascination?

    Une Geisha est une artiste.C'est une femme qui a hérité de cultures et de tradittion qui régissent le Hanamachi(district des Geishas), depuis plus de 400 ans et,en tant que professionelle,elle les met au service de cleints.D'ailleurs,devenir Geiko (c'est le nom que  l'on donne aux Geishas à Kyoto) est le fruit de longues et difficiles années d'apprentissage de la danse, du chant et de la musique,mais également du comportement qui sied à une Geisha.

    Le jour de son Misedashi,ses débuts comme apprentie Geisha,elle est maquillé pour la premiere fois par un professionelle.

    Un Kimono peut peser jusqu'à 10 kilos et mesurer jusqu'à 7 métres de long!L'assistance d'un habilleur, l'Otokoshi est donc indispensable.Sans lui, les Geishas ne pourraient revetir correctement leur somptueuse tenue.

    Raffinement suprême:1 repas composé de mets symbolisant la chance et le bonheur.Il est offert à l'occassion de l'Enkae qui marque l'entree dans le monde des adultes,ce jour-là,elle devient une Geisha à part entiére.

     


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